Soixante ans! Votre revue culturelle choisir éditée par les jésuites de Suisse fête au mois de novembre 2019 ses 60 printemps! Un âge loin d'être canonique pour un média de cette teneur, mais un âge vénérable tout de même qui méritait bien un anniversaire!
Les jésuites de Suisse et la rédaction de la revue sont heureux de célébrer cet événement le 5 novembre 2019, en lecture et en musique, avec ses fidèles lecteurs et auteurs. À cette occasion, choisir lance un concours d’écriture pour jeunes auteurs jusqu'à 35 ans, vivant en Suisse et écrivant en français, sur le thème du choix. L’expression est libre, tout comme l’objet du sujet. Le mot choix peut rimer avec foi, mais il peut aussi amener le lecteur dans des contrées plus exotiques... Le concours sera officiellement lancé le 5 novembre.
«Le Frère Paul Wiederkehr sj, dernier jésuite suisse à être parti comme missionnaire "classique", en 1963, est décédé il y a quelques semaines», souligne avec tristesse, tout en lui rendant hommage, Tony Kurmann sj, président de la Fondation Jésuites International. «Son engagement au sein de l’école professionnelle jésuite de Java a changé la vie de nombreux jeunes hommes et jeunes femmes. Même si ce style de mission outremer paraît de plus en plus anachronique, se tourner vers les autres reste un défi, en particulier pour ceux qui orientent leur vie sur l’exemple de Jésus.»
L’enquête suisse sur la santé 2017, publiée le 20 août par l’Office fédéral de la statistique (OFS), indique que les situations de stress et les risques psychosociaux ont augmenté dans le monde professionnel. Les sondés avancent comme causes de ce mal-être, une demande élevée de la part de l’employeur, mais sans gain d’autonomie pour compenser cette augmentation de la charge de travail. Ces dernières informations pourraient bien influencer les débats fédéraux actuels sur la flexibilisation du temps de travail.
Vous désirez participez ou mettre en place avec d'autres (amis, communauté, groupement paroissial, etc.) un groupe d'échange et de réflexion chrétiens? L'itinéraire chrétien de la vie spirituel proposé par OASIS pourra vous y aider.
Il vous sera possible de télécharger gratuitement une série de conférences filmées ainsi que divers supports papier en vous inscrivant sur le site: www.parcoursoasis.org.
Le matériel permet d’animer 10 rencontres et une retraite, au rythme choisi par le groupe. Des pistes de réflexion sont également proposées entre chaque rencontre. Il réunit les réflexions et propositions de cinq théologiens francophones:
- l'Abbé François-Xavier Amherdt, professeur de théologie pastorale, pédagogie religieuse et homilétique, Université de Fribourg en Suisse.
- le Père Jean-Emmanuel de Ena, carme à Toulouse, directeur de l’Institut Jean de la Croix.
- Marie-Agnès de Matteo, animatrice pastorale, Unité pastorale de Nyon en Suisse.
- le Père Franck Janin sj, président de la Conférence des Provinciaux jésuites européens
- le Père François-Régis Wilhélem, professeur au Studium de Notre-Dame de Vie en France (Saint-Didier–Venasque)
L'Association Bible & Lecture de Suisse romande poursuit sa proposition de formation à la lecture et à l’animation de groupe biblique.
Elle se déclinera dès octobre 2019, en quatre samedis matin et deux journées pleines.
Les fils rouges de cette session sont:
– pour les matinées, celui des paraboles du Royaume,
– pour les deux journées, celui de l’évangile selon Jean (chapitre 3 et chapitre 5).
À ce parcours se greffera, du 19 au 21 juin 2020, un week-end “Bible en montagne” à l’hospice du Simplon, entre Suisse et Italie.
Le président Trump doit se rendre à Et Paso aujourd’hui 7 août. Il n'y sera pas bien accueilli. La tuerie a profondément choqué les habitants de la ville, peu habitués à la violence locale. Ils incriminent la politique migratoire de Trump. «À El Paso, il ne fait guère de doute que le discours scandaleux de peur et d’invasion véhiculé par M. Trump a nourri la motivation du jeune assassin», commente le jésuite texan Michael S. Gallagher, ancien responsable à Genève du Bureau international du Service jésuite des réfugiés, qui vit aujourd'hui à El Paso.
n° 691 dédié au travail. En le lisant, j’ai fait un plongeon dans les années 80. Ma fille cadette, 7 ans à l’époque, m’avait posé la question: «Papa que fais-tu?» Je lui avais donc proposé de venir toute une journée avec moi.
Voilà finalement terminée la lecture de votreUn lundi de libre à l’école, les professeurs étant en formation, après un réveil à 6h et un bol d’Ovomaltine, nous voilà partis pour les chantiers.
Dépaysement, mot magique, qui évoque aussitôt des horizons nouveaux prometteurs d'espace, la distance prise par rapport au quotidien, l’affranchissement des contraintes habituelles pour se retrouver libre et léger. Adieu stress, fatigue, routine ennuyeuse qui émoussent la vivacité de l’être!
Nul besoin de s’appeler Cendrars, Bouvier ou Maillart pour gagner d’autres cieux. Les marchands vous emmènent à petit prix easy flirter avec des vieilles pierres et des cultures exotiques, sans trop vous éloigner de votre propre monde. Un zest de dépaysement pour l’illusion, et le wifi pour ne pas se retrouver orphelin de son environnement familier, avant de retourner au pays. «Heureux qui comme Ulysse…»
«Expulsés du Myanmar, échoués dans la baie du Bengale: le sort des Rohingyas a ému l’opinion publique mondiale en 2017 -et il n’est toujours pas clair près de trois ans après», note Tony Kurmann sj, président de la Fondation Jésuites International, dans le cahier des Échos des jésuites de Suisse réservé à l’organisation caritative des jésuites suisses. «Le Myanmar ne veut pas reprendre le million de réfugiés, le Bangladesh veut s’en débarrasser. Les enfants ne sont donc pas autorisés à aller à l’école, ni les parents à travailler. Pour la première fois cependant, une lueur d’espoir apparaît: le gouvernement du Bangladesh envoie des signaux indiquant qu’il autoriserait l’éducation dans les camps de réfugiés rohingyas, rapporte Stan Fernandes sj, directeur du JRS Asie du Sud.»
Voilà l'été! Ses va-et-vient entre farniente et travail, ses transhumances humaines qui parfois annoncent des changements de cap plus profonds. Ce sera le cas pour Luc Ruedin sj qui, dès le mois de juillet, s'en va à Nuremberg où il prendra de nouvelles fonctions: socius du noviciat qui accueille les postulants jésuites des Provinces de Suisse, d’Allemagne, d’Autriche et de Lituanie. En Bavière, le jésuite suisse aura également un rôle à jouer dans le diocèse, il donnera diverses retraites et approfondira le dialogue interreligieux Orient-Occident. Son rôle de socius étant agendé jusqu’en septembre 2020, date à laquelle l’équipe du noviciat sera restructurée, Luc Ruedin sj pourrait être de retour en Suisse en automne 2020.
la Fête des vignerons (Vevey, du 18 juillet au 11 aout 2019), possède néanmoins selon lui une dimension transcendante. Dans les élégants bureaux de la Confrérie des vignerons de la rue du Château, à Vevey, on ressent que le vin est tout sauf une boisson de bas étage. L'abbé-président du lieu n'a rien non plus d'un tenancier de bistrot. La distinction de son apparence et de son élocution le rapprochent plus d'un magistrat… ou d'un ecclésiastique, au vu de la ferveur avec laquelle le protestant s'exprime sur son engagement.
François Margot, l'abbé-président de la Confrérie des vignerons de Vevey, ne célèbre pas la messe. La célébration totalement profane dont il dirige les préparatifs,En janvier, l’association Tu Vis ! Tu Dis a lancé la Sine Qua Non Squad, des sessions de running et de training mixte pour encourager les femmes à se réapproprier l’espace public et revendiquer leur droit à faire du sport quand elles veulent, où elles veulent et dans la tenue qu’elles veulent. Déployée dans un premier temps en Ile de France, la Sine Qua Non Squad se délocalise pour une session en Suisse, à Genève.
Le cerveau sous pressions. Spécialiste de la compréhension des mécanismes de décision, il est responsable de l’étude menée avec l’explorateur Christian Clot sur l’impact des milieux extrêmes sur le cerveau humain.
«Comment l’homme s’adapte-t-il à son environnement?» En juillet 2017, choisir publiait une interview d'Etienne Kœchlin, fondateur et directeur du Laboratoire de neurosciences cognitives de l’INSREM, intituléeUne question à explorer lors d'une conférence de Christian Clot, mercredi 3 juillet 2019, à 18h, au Campus Biotech, auditorium H8. Avec les interventions de Luc Mallet, psychiatre, et de Didier Grandjean, spécialiste en sciences affectives.