Si vous habitez Genève ou ses environs et que vous n'avez pas encore vu L'Ordre divin, de Petra Volpe, ne ratez pas cette occasion! Le film porte sur la lutte d'un groupe de villageoises en Appenzell pour l'obtention du droit de vote en 1971. Il sera projeté mardi 5 décembre, de 12h00 à 13h30, au Centre œcuménique de catéchèse. Et n'hésitez pas à amener avec vous les jeunes, filles et garçons, qui ne peuvent se douter du courage qu'il a fallu à leurs mères et grand-mères pour mener ce combat en vu de l'émancipation des femmes dans la Suisse des années 70.
! Nous venons d'être informé par les organisateurs que ce spectacle a été annulé et repoussé à une date ultérieure non encore fixée
Le métier de médiateur ou médiatrice a le vent en poupe depuis une quinzaine d’années. Il consiste à aider des parties opposées (personnes, entreprises, associations, etc.) à trouver une solution à l’amiable à leur conflit.
En Suisse, l’Association Sweet Justice s’est fixé comme objectif de promouvoir ce mode de résolution des litiges, aux niveaux cantonal, fédéral et international, notamment par le biais de pièces de théâtre. Elle met en scène ici un cas de divorce litigieux soumis à la co-médiation. Acteurs, vrais médiateurs de conflits, juge et avocat se donnent la réplique dans:
Sweet Justice.
La co-médiation de conflits se donne en spectacle.
Le 24 novembre 2017
à l’Opéra de Lausanne
«Embaumer les corps, prendre soin de la vie», tel était le titre de l’exposition organisée en avril par l’Espace Fusterie de Genève. Articulé autour des tableaux de Bernadette Lopez sur la mort et la résurrection du Christ (voir p. 38) et du reportage photographique de Patrizia Cini sur la thanatopractrice Camille Béguin, le parcours invitait à découvrir l’embaumement et à méditer sur l’impalpable après la mort. Rencontre avec deux des protagonistes.
Un entretien avec Camille Béguin, thanatopractrice, et Patrizia Cini, photographe, Genève. - Camille Béguin est maître de cérémonie et la seule thanatopractrice suisse en Romandie. Patrizia Cini est une photographe indépendante. Elle a notamment effectué un reportage sur les abeilles, exposé à Corsier (GE) en 2012.
La destruction en 2015-16 de la cité antique de Palmyre tombée entre les mains de Daesh fait partie de ces terribles images de la guerre en Syrie qui ont marqué les esprits. Celles de sa libération par les troupes russes au printemps dernier et du récital qui s’en est suivi le 5 mai par l’Orchestre symphonique de Saint-Pétersbourg, sur les lieux mêmes où des prisonniers de Daesh avaient été égorgés peu de temps auparavant (devant des caméras bien sûr), n’ont pas moins dérangé. La guerre des images est plus que jamais prépondérante lors des conflits.
Les responsables des revues culturelles. Photo : C. FossatiDifficile de savoir à quand remonte la création du réseau des revues culturelles jésuites européennes. Une chose est certaine, il existait déjà il y a 40 ans, avant la démocratisation d’Internet. Depuis, les directeurs de ces revues ont pris l’habitude de se réunir une fois par an pour débattre de leur mission et de leur identité, partager des idées et des articles, échanger des informations sur les avancées ou les difficultés de leur revue, mais aussi sur l’actualité politique et religieuse de leurs pays.
Besoin de feuilleter avant d’acheter ? Des librairies suisses proposent la revue choisir dans leurs rayons.
N’hésitez pas à en parler à votre librairie préférée pour qu’elle en fasse autant !