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Rafael Luciani

VenezuelaUne vague de contestation secoue l’Amérique latine depuis l’automne passé: Équateur, Chili, Argentine, Bolivie… Partout est dénoncée la corruption des gouvernements. Au Venezuela, où la crise sociopolitique et humanitaire remonte à 2014 déjà, l’Église s’est positionnée dès le début du côté des opposants. Cette nouvelle forme d’ingérence politique a trouvé son nom: la neutralité positive. Les explications d’un expert épiscopal.

Rafael Luciani est professeur de l’Université catholique Andrés Bello, à Caracas (Venezuela). Il enseigne aussi à l’École de théologie et ministère du Boston College. Il est membre de l’équipe théologique pastorale du Conseil épiscopal latino-américain (CELAM).