À l’occasion de la publication du Manuscrit de Namur, œuvre d’un miniaturiste anonyme du XIVe siècle consacrée à l’Apocalypse de Jean, un colloque interdisciplinaire s’est tenu en 2016 à Namur. Il a donné des clefs pour aborder l’apocalypse. Un nom qui, hélas, est devenu synonyme de catastrophe, alors qu’il se veut porteur d’espérance.
Monique Desthieux, Genève, théologienne
Joël Rochette et Dominique Lambert (éd.),
Lueurs d’Apocalypse. Imaginaire et recherche autour du manuscrit de Namur (XIVe siècle),
Namur, Lessius 2017, 224 p.
Michel Barlow
L’Espérance. Un don gratuit de Dieu
Bière, Cabédita 2016, 92 p.
L’espérance a mauvaise presse de nos jours. Pour nos contemporains, le plus souvent, n’est-elle pas une négation du réel?
Mgr Robert Le Gall
Devenir le disciple que Jésus aimait
Lecture de saint Jean
Paris, Parole et Silence 2016, 240 p.
Nous sommes fortement encouragés à faire une lecture suivie du quatrième Évangile qui, d’après Mgr Le Gall, est l’un des plus abordables par le langage, les images, les symboles profonds et saints à la fois.
Bernard Sesboüé
Jésus. Voici l’homme
Paris, Salvador 2016, 186 p.
Le Père jésuite Bernard Sesboüé a déjà beaucoup écrit sur le ministère du Christ en montrant comment ses disciples ont reconnu sa divinité. Il lui semblait important de montrer à présent que Jésus, en s’incarnant, s’adresse à
nous à travers toute sa corporéité. Ses actions sont toujours des signes révélateurs de sa personne. Il n’y a pas la moindre distance entre ce qu’il dit et ce qui le fait. Jésus a pleinement accompli sa vocation humaine. Si Jésus avait été un homme médiocre, il n’aurait pas pu faire rayonner son caractère divin.
Luc Devillers
L’Évangile de Luc
Paris, Cerf 2016, 168 p.
À travers une lecture vivante et très accessible des principaux thèmes du troisième évangile, le dominicain Luc Devillers, qui enseigne le Nouveau Testament à l’Université de Fribourg, partage avec fougue sa passion pour les écrits de saint Luc.