Dans les pays occidentaux, les 40% de la facture pétrolière sont le fait du chauffage ; juste derrière arrivent les transports. En Suisse, les transports dans leur ensemble sont responsables d'environ 35 % de la consommation d'énergie et de 30% des émissions de gaz carbonique. Comment réduire ces taux ? Par le développement du rail et l'utilisation d'autres énergies.
Face au désastre climatique qui s'annonce, nous sommes appelés à une véritable mutation qui prenne en compte le besoin de développement économique du Sud et les critères de justice. A la fin de cette année, une nouvelle convention internationale sur le climat sera adoptée à Copenhague. L'enjeu est de taille : la survie des pays du Sud dépendra en partie des décisions qui y seront prises, comme l'affirme la Campagne oecuménique de Carême 2009.