Les observations récentes du monde animal tendent à montrer que la frontière entre l'homme et l'animal est bien plus poreuse qu'admise.
L'exclusivité du champ du possible de l'homme se rétrécit, tant sur le plan
technique que social : même le fameux langage à contenu sémantique ne serait pas une spécificité humaine. Resterait sa capacité au « davantage » : le propre de l'homme tiendrait dans cet appel à l'illimité.
Du moins en l'état actuel de l'évolution