L’ivresse révèle-t-elle les génies littéraires ou les entraîne-t-elle vers leur perte? Nombre de cas de ces derniers siècles indiquent une relation ambigüe entre la consommation d’alcool et le processus d’écriture de grands auteurs. Poètes buveurs d’absinthe ou romanciers assistés de vin et de whisky, devaient-ils boire pour écrire ou l’écriture les a-t-elle guidés à travers des angoisses que seul l’alcool arrivait à soigner?