Le Synode pour l’Amazonie se tiendra à Rome du 6 au 27 octobre 2019. Plus de 200 évêques de la région vont évoquer le destin d’une Église catholique en perte de vitesse dans une zone plus que jamais menacée par une destruction irréversible. Dans la ville d’Altamira, au cœur de l’État du Para (Pérou), face à l’avancée des évangéliques, l’Église catholique s’appuie sur les laïcs, en particulier sur les femmes, pour reconquérir les fidèles. C'est même grâce aux femmes que l’Église reste vivante en Amazonie, de l'avis de Sœur Rose Bertoldo, de la Congrégation du Cœur Immaculé de Marie, au Brésil, auditrice choisie par le Vatican pour participer au Synode. Deux reportages, signés Jean-Claude Gérez.
Depuis le 6 février, une quarantaine de théologiens de langue espagnole sont réunis au Boston Collège, dans la ville de la côte est des Etats-Unis, dans le cadre de la «Première rencontre hispano-américaine de théologie». Parmie les interventions remarquées, celle de Gustavo Guttiérez, le père de la théologie de la libération, sur le thème : L’interpellation du pauvre dans un monde globalisé, 50 ans après le Concile.
Confrontés au succès grandissant des Eglises pentecôtistes et à son pendant, l'évasion des catholiques de leur propre Eglise, plus de 120 diocèses du Brésil ont eu recours aux services proposés par l'Institut brésilien de marketing catholique. Avec l'idée que le marketing, appliqué de manière adéquate, en particulier dans les secteurs de l'accueil, la communication et le financement, peut résoudre le manque de motivation des fidèles, en les amenant vers un amour renouvelé pour leur Eglise.