Le pape François a reçu le 1er décembre 2014 les membres de la Conférence des évêques suisses en visite ad limina. Dans son discours, le pontife a insisté sur trois points : la collaboration des laïcs avec les prêtres, l'oecuménisme et les relations Eglise-Etat.
Le Christ n’a eu de cesse de nous appeler à une humanité nouvelle, qui ne séparerait plus le charnel du spirituel (Eve et Marie). De nombreux prophètes ont enseigné à travers l’Histoire que « la vulnérabilité est révélatrice à la fois de l’humanité et de l’altérité » (Amanda Garcia). Les traités internationaux de protection des droits humains adoptés au siècle passé, telle la Convention internationale des droits de l’enfant dont nous venons de fêter les 25 ans, révèlent combien cette idée maîtresse a pris racine dans le monde.
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Réunis à Istanbul à l'occasion de la fête de saint André, patron du Patriarcat œcuménique de Constantinople, le pape François et le patriarche Bartholomée 1er ont signé une déclaration commune, le 30 novembre 2014. En voici le texte.
Pas d'excuses à la violence envers les femmes
Pour dire non à toutes les sortes d'excuses qui justifient la violence envers les femmes et les jeunes filles, le COE, d'entente avec l'Alliance mondiale YWCA (Unions chrétiennes féminines) et la Fédération luthérienne mondiale, invite ses Églises membres et ses partenaires à se joindre à la campagne «Pas d'excuses à la violence envers les femmes» («NoXcuses for Violence against Women»).
Depuis le 25 novembre, durant Seize jours d'action contre la violence liée au genre, le COE et ses partenaires présentent chaque jour un message vidéo d'une personnalité dirigeante qui, s'appuyant sur son expérience personnelle et sa conviction chrétienne, viendra affirmer qu'il ne peut y avoir d'excuses à la violence fondée sur le genre.