Jusque dans les années 1960, les suicidés n'avaient pas droit à des obsèques chrétiennes. La conscience collective en a été marquée au fer rouge, même si l'Eglise les accueille tous aujourd'hui, persuadée, comme Thérèse de Lisieux, qu'« on ne peut tomber plus bas que dans les bras de Dieu ». Une espérance pour ceux qui restent, dont l'accompagnement, surtout des jeunes, demande accueil, écoute et partage.