La course au bonheur présent est devenue un impératif, sur un chemin pavé de stoïcisme, de bouddhisme et de freudisme, où le bonheur céleste éternel ne convainc plus. Mais y a-t-il vraiment séparation entre « bonheur psychologique » et « bonheur spirituel » ? Le dualisme est une tentation. La confusion des plans en est une autre.