Le narrateur-écrivain, qui doit répondre à deux commandes, une préface pour un livre sur les peintres de montagne et un exposé sur un chant de la Divine Comédie de Dante, laisse libre cours à ses pensées. Celles-ci le mènent, entre autres, sur les chantiers de l’usure du langage, du pouvoir de l’art et de la condition des bonnes (un sujet qui lui tient à cœur comme le montre Bonnes et peintres, un inédit publié dans choisir n° 681, octobre-décembre 2016, pp. 63-65).
Haute trahison
Jusqu’au 21 janvier 2018,
au Théâtre 2.21
rue de l’Industrie 10, 1005 Lausanne