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marty39787sentirFrançois Marty, Sentir et goûter. Les sens dans les « Exercices spirituels » de saint Ignace, Cogitatio Fidei (241), Cerf, Paris 2005, 320 p.

vendredi, 06 janvier 2006 01:00

Des théologiens africains

collectif38140TheolAfr1collectif40007TheolAfr2Bénézet Bujo, Juvénal Ilunga Muya (ed.), Théologie africaine au XXIe siècle. Quelques figures, Academic Press, Fribourg 2005, 2 vol., 190 p. et 266 p.

mercredi, 06 décembre 2000 01:00

Hommage à Jeanne Hersch

La disparition de la philosophe Jeanne Hersch en juin de cette année a suscité un peu d'émotion en Suisse, et les agences de presse se sont souvenues de son engagement politique : on a évoqué la polémique contre la nomination de Jean Ziegler à l'Université de Genève, la défense d'Elisabeth Kopp, son engagement pour les droits de l'homme et la cause des femmes à l'Unesco. Tous ces engagements publics et médiatisés prenaient en réalité leur source la plus profonde dans l'exigence morale et intellectuelle qui a toujours fait l'étoffe des véritables philosophes.
Le 25 octobre, le Conseil fédéral a demandé l'élaboration d'un projet de loi qui permettrait aux couples homosexuels de disposer d'une reconnaissance civile de leur union, différenciée du mariage. Cette avancée juridique pourrait résoudre des problèmes liés aux assurances sociales, au droit de succession, au droit de bail, etc. Un projet considéré en sa forme actuelle comme acceptable par la Conférence des évêques suisses et dont la Fédération des Eglises protestantes avait déjà approuvé l'idée l'an passé. De tels choix politiques relancent inévitablement le débat sur la question des unions homosexuelles, qui se pose un peu partout, presque toujours dans un climat passionnel. Michel Salamolard propose ici quelques réflexions qui lui paraissent indispensables pour bien poser le problème et en saisir les principaux enjeux.

Le 25 octobre, le Conseil fédéral a demandé l'élaboration d'un projet de loi qui permettrait aux couples homosexuels de disposer d'une reconnaissance civile de leur union, différenciée du mariage. Cette avancée juridique pourrait résoudre des problèmes liés aux assurances sociales, au droit de succession, au droit de bail, etc. Un projet considéré en sa forme actuelle comme acceptable par la Conférence des évêques suisses et dont la Fédération des Eglises protestantes avait déjà approuvé l'idée l'an passé. De tels choix politiques relancent inévitablement le débat sur la question des unions homosexuelles, qui se pose un peu partout, presque toujours dans un climat passionnel. Michel Salamolard propose ici quelques réflexions qui lui paraissent indispensables pour bien poser le problème et en saisir les principaux enjeux.

En 1998, la Conférence des évêques suisses et la Fédération des Eglises protestantes de Suisse lançaient une vaste consultation intitulée «Sur l'avenir économique et social de la Suisse». Plus de 40000 brochures présentant la démarche, lançant des pistes de réflexion et posant une série de questions furent distribuées ; quelque 1200 réponses sont parvenues aux responsables de l'opération. Si cette démarche ne peut être qualifiée de scientifique, elle peut être néanmoins considérée comme une source unique d'informations. Non seulement les réponses ont émané de milieux forts divers, mais elles ont été réfléchies. Globalement s'y dessinent la vision assez sombre d'un avenir dominé par l'économique, mais aussi des attentes fortes quant au rôle de la société civile et des Eglises.
mercredi, 06 décembre 2000 01:00

Quel ministère demain ?

Le sujet devient de plus en plus brûlant, dans l'Eglise catholique, malgré les déclarations, qui se veulent rassurantes, sur la remontée du nombre des séminaristes et des ordinations. Pourtant des statistiques précises existent, elles sont connues et pour le moins alarmantes.1 Je ne m'y attarderai pas, sinon pour dire que l'obstination farouche avec laquelle les responsables de l'Eglise refusent de poser le problème de l'identité et du statut du ministère presbytéral autrement que selon le modèle déterminé au Concile de Trente conduit tout simplement à une situation catastrophique pour la vie des communautés. Il y a véritablement urgence à reposer la question. Une étude de Peter Schmidt, parue dans l'ouvrage collectif publié sous la direction de Jan Kerkhofs, sous le titre «Des prêtres pour demain»2 (voir encadré), m'a inspiré les quelques réflexions de cet article.
lundi, 06 novembre 2000 01:00

Le sida comme révélateur

Le sida s'est banalisé. Les médias l'ont évacué de leurs colonnes et de nos pays. Le sida, maintenant, c'est l'Afrique, l'Asie. Pourtant, même si la maladie est en régression sous nos cieux, elle demeure le champ dramatique d'un terrible questionnement éthique et sociologique. Maroun Tarabay, sociologue et aumônier maronite de 1989 à 1998 à la maison Soleil Levant où sont accueillis toxicomanes et malades du sida, s'est penché sur le vécu des pensionnaires, sur les attitudes de la société civile et religieuse et sur le rôle des médias.

Dépenser moins pour l'armée et investir plus dans la promotion de la paix afin de se donner les moyens d'une politique de sécurité adaptée aux menaces réelles. Tel est le but de l'initiative populaire «Economiser dans l'armée» sur laquelle le peuple suisse se prononcera le 26 novembre. Quelques quarante organisations non gouvernementales, dont la Communauté de travail (Swissaid, Action de Carême, Pain pour le prochain, Helvetas, Caritas), recommandent le oui.

Les feux de la fête sont éteints. La vaste plaine de Tor Vergata est retombée dans l'anonymat. Deux millions de jeunes pèlerins ont rejoint leurs parents, leurs paroisses, la vie quotidienne. Qu'y a-t-il de changé sur la planète des jeunes catholiques en cette année jubilaire et quels enseignements tirer de l'incontestable succès et de la réelle ferveur des XVe Journées mondiales de la jeunesse à Rome, du 14 au 20 août 2000 ?