Le financement des Eglises est à l’ordre du jour. Si les cantons romands ont à ce sujet des systèmes très différents, les cantons alémaniques connaissent tous l’impôt ecclésiastique, qui est actuellement contesté dans la mesure où il est aussi dû par les sociétés commerciales. Un nouveau mode de financement est ainsi évoqué : l’impôt de mandat. De quoi s’agit-il ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Est-il politiquement faisable ?