Dans les sociétés occidentales industrialisées où la liberté de religion et sa relégation à la sphère privée de l'individu sont de mise, on peut composer son identité religieuse selon une méthode résumée par l'expression de « spiritualité à la carte ». Quelle est la légitimité d'une telle démarche ? Qu'en dit le magistère ?
N'est-ce pas là paradoxalement, une voie possible pour mieux s'enraciner dans sa foi d'origine ?