Le 27 novembre 2005, la première greffe d'un visage a été tentée en France, soulevant beaucoup d'émotion, le visage étant perçu comme le lieu même de notre universalité humaine, mais aussi de notre singularité. Intervention à haut risque, elle a suscité au préalable une étude du Comité national d'éthique français, renvoyant à des questions d'ordres médical, anthropologique, psychologique et même existentiel.