La boulimie de nos contemporains pour l'information immédiate et l'avènement de l'éditeur citoyen » signeraient-ils la mort du journaliste ? Loin s'en faut. Ce qui est à reconstruire, c'est la confiance du public
à son égard. Le besoin de professionnels aptes à distinguer le vrai du faux est plus que jamais prononcé dans notre monde surinformé.