Suite à la fermeture de la Faculté neuchâteloise en 2015, la jeune retraitée fonde en effet -avec notamment Cécile Entremont, psychothérapeute, accompagnatrice spirituelle et docteur en théologie- l’association aaspir (Association pour l’Accompagnement SPIRituel) afin de poursuivre la formation, «la demande étant toujours aussi vive». Elle relève avec enthousiasme: «Depuis le début (le premier CAS à l'Université de Neuchâtel) jusqu'à aujourd'hui, quelque 312 personnes ont bénéficié des outils de l'accompagnement spirituel.»
Nous avons rencontré Lytta Basset chez elle, où elle s’apprêtait à entamer une journée de communication marathon. En écho au dossier de notre trimestriel n°689 d’octobre-novembre-décembre 2018, elle nous livre sa vision de l’accompagnement spirituel et dresse les grandes lignes directrices de la formation aaspir.