En juillet 2002, la FI.ACAT a réuni ses membres à Dakar pour un séminaire sur les droits humains en Afrique. Les onze ACAT africaines avaient auparavant fourni un intéressant matériel d'analyse, suite à leur décision de Ouagadougou, en 1994, de poursuivre la réflexion sur les sources de la violence et la recherche d'alternatives non violentes. Lors du séminaire de cette année, des penseurs africains, comme le professeur Fabien Eboussi Boulaga ou le pasteur Kä Mana, ont, «dans une perspective créatrice, examiné les valeurs traditionnelles et modernes, afin de préciser les valeurs qui feront vivre l'Afrique de demain».