Se poser la question éthique à propos des grands vieillards, c’est, à suivre Ricoeur, se demander quelle serait une bonne vie avec et pour eux, et pour cela considérer les trois aspects fondamentaux de l’humain que sont la liberté, la fragilité et la communauté. Ceux-ci prennent avec le grand âge des reflets particuliers.