Le célèbre sociologue allemand Ulrich Beck est décédé au début de cette année. Auteur de nombreux articles et ouvrages, son oeuvre la plus connue est certainement "La société du risque" (1986), dans laquelle il pose les bases de sa vision d’une société moderne, profondément changée dans son rapport au risque.
La fin de l’année, avec la période de l’Avent et le soir de Noël qui approche, est une époque durant laquelle nous sommes plus attentifs à la vulnérabilité qui nous entoure. En fêtant la naissance du Christ, l’arrivée d’un nouveau-né à la merci des êtres et des éléments, nous faisons une place à la possibilité de l’impuissance et de l’incertitude.
Photographe romand, Jean-Marie Jolidon a d'abord cherché l'exploit sportif et le sensationnel, avant de troquer ses crampons pour ses objectifs et le bonheur des rencontres.
Avec le centenaire de la Première Guerre mondiale, l'été 2014 sera chargé en commémorations internationales.[1] Mais combien de jeunes y seront sensibles ? Ils liront sans doute plus volontiers des bandes dessinées qui relatent les guerres les plus terribles de notre passé. Raconter l'Histoire, faire acte de mémoire en s'adressant au plus grand nombre, du jeune blanc bec à l'homme pressé, qui mieux que la BD peut s'enorgueillir d'y parvenir ? Démonstration par la Seconde Guerre mondiale.
Depuis que l'homme a le loisir de philosopher, il s'est demandé comment atteindre le bonheur; question qui en appelle tout naturellement une autre: après tout, qu'est-ce que le bonheur? Cette interrogation a joué un rôle prépondérant dans la philosophie antique, s'articulant autour de la notion de «vie bonne».