Les nuits blanches du facteur,
d’Andreï Konchalovski
La Isla Minima,
d’Alberto Rodríguez
Quand à 77 ans, après une parenthèse hollywoodienne dans le genre film d’action[1], un réalisateur russe ayant débuté avec Tarkovski[2] revient à ses premières amours[3] - une forme mêlant documentaire et fiction -, cela donne Les nuits blanches du facteur, un film magnifique d’Andreï Konchalovski.
Le film Spotlight a obtenu l’Oscar du meilleur film, le dimanche 28 février 2016, à Los Angeles. Basé sur des faits réels, il est un film-enquête de facture classique, qui fait beaucoup parler de lui. Il relate avec minutie le travail d’enquête au long cours de l’équipe des journalistes du "Boston Globe" à propos des crimes de pédophilie commis par des prêtres à Boston et couverts par leur hiérarchie. Chroniqueur cinéma de choisir, Patrick Bittar nous livre son analyse objective :
Broadway Therapy, de Peter Bodganovich
Le labyrinthe du silence, de Giulio Ricciarelli
Dans ma chronique précédente, les citations d’Orson Welles étaient tirées d’un livre d’entretiens menés par Peter Bodganovich. Ce dernier a d’abord été critique de cinéma, puis réalisateur et comédien. Ceux qui ont vu la géniale série The Sopranos se souviennent de sa tête de Droopy aux grosses lunettes : il jouait le psy de la psy du mafieux dépressif Tony Soprano. En tant que réalisateur, son film le plus célèbre - La dernière séance - remonte à 1971, et son dernier long-métrage date d’il y a 13 ans. A 75 ans, il revient avec She’s funny that way (« traduit » Broadway Therapy par les distributeurs français), une comédie américaine à la mode d’antan.
Le scandale Paradjanov,
de Serge Avédikian et Olena Fetisova
Hayk : Evasion,
de Harutyun Khachatryan
L’Enquête,
de Vincent Garenq
Il est difficile d’être un dieu,
d’Alexeï Guerman