Le vernissage de Le choix - Recueil de nouvelles de jeunes talents a enfin eu lieu mercredi 15 septembre, au Café Slatkine! Cette rencontre privilégiée entre les jeunes auteur.e.s de l’ouvrage, les membres du jury, les éditeurs et bien sûr tous nos invités était attendue depuis longtemps. Repoussé du fait du coronavirus, le rendez-vous n’en a été que plus beau. Lauréate du concours pour sa nouvelle Lignine, Fanny Desarzens, s’est vu remettre à cette occasion un prix généreusement offert par la Fondation Jan Michalski.
«Le fait religieux et humaniste à l’école, une responsabilité citoyenne»
colloque des 24-25 septembre 2021, à l'Université de Genève, Salle B106 Uni Bastions
Horizon Parrhésia et InCite animent trois tables rondes sur trois aspects qui ont été au cœur des activités de membres du Groupe Citoyen «Culture religieuse et humaniste à l’école laïque».
En 2016, ce Groupe citoyen confie ses archives à l’Institut d’études de la citoyenneté de l’Université de Genève (InCite). Ils s’accordent sur la nécessité de rédiger un ouvrage pour rendre compte de la richesse du contenu de ces archives. Ce colloque profite de la parution du livre sur le Groupe Citoyen et du partenariat avec l’association Horizon Parrhésia pour ouvrir le débat sur les enjeux clefs soulevés par l’ouvrage.
Informations et inscriptions ici.
Le confinement a été bénéfique pour l’activité littéraire. En dépit de la fermeture des librairies, la demande de livres a été particulièrement forte et les éditeurs croulent sous les manuscrits. La littérature a donc permis aux uns d’échapper à l’enfermement, et à d’autres de se donner l’impression d’exister dans le désert social de la pandémie. Si la vraie liberté se trouve là où le moi perd ses limites et ses contraintes, le confinement lui a offert un biotope favorable, et l’œuvre littéraire lui a ouvert le chemin d’un monde plus essentiel que celui dans lequel les mesures sanitaires le séquestraient. Lire pour sortir de l’enfermement, écrire pour repousser les barreaux d’une prison.
Le frère franciscain Alain Richard était l'un des grands apôtres de la non-violence du XXIe siècle. Il est décédé jeudi 24 juin, à l'âge de 96 ans. Il avait fondé à Toulouse les "Cercles de silence" pour dénoncer l’enfermement administratif des sans papiers. Ce type de manifestation non-violente et silencieuse a fait depuis école ailleurs, dans d’autres villes de France, en Espagne, en Belgique et en Suisse, souvent sous l'égide de mouvements locaux d’Églises. Dernières en dates en Suisse, le 19 juin 2021, à l'occasion de la Journée des réfugiés. Vous pouvez entendre le frère Alain Richard expliquer le sens de sa démarche dans l'entretien ci-contre.
En Suisse comme partout dans le monde, les jésuites célèbrent jusqu’au 31 juillet 2022 l’année ignatienne. Ils commémorent les 500 ans de la conversion de leur fondateur. Le 20 mai 1521, en effet, Ignace de Loyola était gravement blessé à la bataille de Pampelune. Un boulet de canon lui brisa la jambe et, plus encore, sa carrière et ses rêves. Au début, Ignace ne voulait qu’une chose: reprendre sa vie de chevalier au plus vite. Les mois passés sur son lit de convalescence ont vu naître une vocation nouvelle. Dieu avait d’autres projets pour lui...
À l'occasion de la Journée mondiale des réfugié·e·s du 20 juin 2021, une nouvelle action Les nommer par leur nom aura lieu dans différentes villes de Suisse (Genève, Neuchâtel, Berne, Bâle, Zurich, St-Gall et Coire, Lucerne et Thoune). Il y sera fait mémoire des disparu·e·s en Méditerranée. Leurs noms seront publiquement lus dans certaines rues et inscrits sur des banderoles de tissu suspendues aux façades des églises attenantes. Les circonstances de leurs décès seront aussi annoncées.
Professeure de théologie dogmatique à l’Université pontificale grégorienne de Rome, membre de l'Académie internationale des sciences religieuses (AISR) et consultante au Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux entre 2014 et 2020, Ilaria Molari a donné le 19 mai 2021 une conférence par zoom titrée «2021: quelle place pour la femme dans l’Eglise? Son rôle, sa mission, les changements en marche». L’événement était organisé par le Foyer universitaire de Carouge, à Genève, émanation de la Société culturelle Arbor et relié, pour ce qui est de la formation chrétienne, à la prélature Opus Dei. Résumé de la conférence.
«Un auteur, un livre» , un partenariat qui réunit l’Église catholique romaine à Genève, l’Église protestante de Genève et la Librairie Payot, vous invite à sa prochaine rencontre. Anne Soupa y présentera son dernier livre Pour l’amour de Dieu. La présentation sera suivie d’un débat avec le public.
Mardi 25 mai à 18h30 sur Zoom
Si vous êtes intéressés, vous pouvez vous inscrire à: . Le lien Zoom vous sera envoyé le jour précédent.
Plus d’information sur le site: http://www.unauteurunlivre.ch/
Les animaux ont-ils leur place dans l’Église? Théologiens, philosophes, historiens, journalistes et défenseurs de la cause animale en débattront lors d'un colloque organisé par le Centre Sèvres de Paris, l'Association Notre Dame de Toute Pitié et la Fraternité pour le Respect Animal.
Les samedis 29 mai, 9 octobre et 27 novembre 2021. Participation par zoom possible.
Inscriptions: https://centresevres.com/evenement/les-animaux-ont-ils-leur-place-dans-leglise/
Plus de détails sur les conférences et les orateurs dans le PDF ci-joint.
En marge de ce colloque, découvrez le dossier Des animaux et des hommes, paru dans choisir n° 681, octobre 2016.
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Vous avez envie de méditer et prier en mouvement loin des centres spirituels? De vous relier à vous-même, à la nature et à Dieu? Cette marche contemplative en montagne, organisée du 11 au 17 juillet 2021, est pour vous.
Infos: Christophe Albrecht: +4179 155 64 25 ou
Vous avez publié une interview de l’ex-ministre Luc Ferry qui contient une contre-vérité historique, à savoir que la laïcité aurait été le seul moyen de mettre un terme aux conflits confessionnels. C’est ignorer que la Constitution fédérale de 1848 a donné à la Suisse les moyens d’éviter ces conflits en laissant aux cantons le soin de trouver une solution respectant leur histoire et leur culture pour légiférer en matière de relations Églises-État. J'écris aux pages 40-41 de mon livre La religion visible, Pratiques et croyances en Suisse (Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes 2010): «Le 19e siècle a donc consacré un système juridique fixant des relations subtiles Églises-État. Au plan fédéral, la liberté religieuse est reconnue. Elle autorise les communautés religieuses à s'organiser, mais la Confédération n'entretient pas de relations directes avec elles. (...) Quant aux cantons, ils fixent les modalités de ces relations. 26 systèmes ont été ainsi mis en place allant de «l’Église d’État» à la séparation entre les deux entités, comme à Genève et Neuchâtel. Le caractère particulier de chaque système reflète l'histoire du canton, en particulier son histoire confessionnelle. Compte tenu des positions théologiques très différentes des protestants et des catholiques sur le rôle et statut de l’État, ces relations sont beaucoup plus étroites dans les cantons protestants, l'exemple de Berne en est le témoin, que dans les cantons catholiques. Dans ces derniers, pour ménager l'autorité de l'évêque et ne pas s'attirer les foudres du Vatican, l’État de mêle moins formellement des activités de l’Église dominante.»
Voilà un an que nous vivons avec la Covid-19. Parmi les conséquences les plus difficiles à vivre régulièrement mentionnées, figure la limitation des déplacements. Si l’environnement s’en sort gagnant (moins de 40% d’émissions de CO2 liées au transport au premier semestre 2020 selon le Global Carbon Project), ce n’est pas le cas des Européens, chez qui les cas d’anxiété et de déprime augmentent de manière appuyée. Le frein aux voyages, évidemment, n’est qu’un des éléments déclencheurs du malaise.
La 6e édition de Photo Esplanade au Château de Gruyères présente un projet inédit du photographe tessinois Alfio Tommasini. Remontant aux sources du jardin persan, sa série Pairidaëza, forte d’une trentaine d’images, explore la relation que l’humain entretient avec l’univers et comment il lui donne forme à travers l’art du jardin. L'artiste s’est rendu en Iran en 2019, sur les traces des antiques jardins persans, à la recherche des origines de cet art millénaire, de ses vestiges et de la pensée qui a animé leur construction, mais aussi de sa réalité actuelle.
À voir du 2 avril au 20 juin 2021.