« Dans la liturgie […] le silence contribue à mettre en valeur un rite accompli, une parole proclamée, un geste effectué. » C’est de cette mise en valeur qu'il est question ici à partir de la pratique liturgique proposée par le Concile et le Missel actuel. De manière très concrète, l’auteur décrit les actions liturgiques et les temps de silence à proposer, qu’ils soient prescrits ou facultatifs.
On s’aperçoit vite que le silence, qu’il soit de recueillement, de méditation, de louange ou de prière tout simplement, est un outil liturgique indispensable au bon déroulement de toute célébration. Chaque chrétien présidant ou participant à celle-ci doit y être attentif, pour donner tous son sens à la liturgie. Car le silence liturgique dit quelque chose de l’Église et de son lien au Christ. Il est comme le sel et donne saveur à toute la messe. L’auteur nous livre ainsi quelque chose d’intime dans sa manière de penser la liturgie.