Dans un second article des Échos des jésuites de Suisse romande, l'écriture est également au centre des préoccupations de Pierre Emonet sj, directeur de choisir, qui confesse avoir «toujours aimé écrire». «La première fois que j’ai mis mon nom sur un livre, c’était en 1981 pour la traduction et l’adaptation de l’allemand d’un ouvrage de Josef Stierli sj, Chercher Dieu en toutes choses - Vie au cœur du monde et prière ignacienne (Le Centurion). À l’époque, on travaillait encore à la machine à écrire.» À l'air de l'ordinateur, Pierre Emonet sj écrit toujours par plaisir et pour servir l’Évangile: «L’inspiration me vient par l’écriture, tout comme le raisonnement intellectuel. Les mots mènent la réflexion.» Il poursuit: «Je n’écris évidemment pas pour la postérité: la grande majorité de ce que j’écris, je le détruis. C’est davantage l’acte d’écrire qui m’importe que la finalité. Sauf quand je pars dans un projet de livre bien sûr.»
Le troisième article des Échos donne la parole au jésuite suisse Stephan Rothlin, directeur du Macau Ricci Institute et spécialiste de la Chine où il est établi et enseigne depuis 1998. Il revient sur l’accord historique du 22 septembre 2018 entre le Vatican et la Chine. L’essentiel de son contenu porte sur la question, de longue date épineuse, de la nomination des évêques en Chine. À noter que les 26 et 28 août 2019, les deux premiers évêques de Chine ont été ordonnés, l'un évêque du diocèse de Jining, en Mongolie-Intérieure, et l'autre évêque coadjuteur du diocèse de Hanzhong, dans la province de Shannxi dans le nord de la Chine.
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