Ils dénoncent, avec beaucoup d'humour, tous les travers, inspiré certes par Béelzéboul, que l'on peut trouver dans des homélies qui manquent leur cible.
Sur les pages de gauche, il est indiqué, fort à propos, 66 failles à éviter, comme celle de trop parler de soi, de prendre les autres pour des théologiens confirmés ou encore d’évoquer Dieu comme un rêve inatteignable… La liste des travers est tout à fait explicite dans la table des matières.
Et pour y remédier, sur la page de droite, nous trouverons des conseils salutaires comme celui de donner un sermon qui ne durera peut-être que quelques minutes, qui va à l'essentiel, et «qui apporte quelque chose, plutôt que 18 minutes diluées. (…) Et cela offrira même la possibilité de laisser un vrai silence de digestion. Mais pour cela, encore faut-il qu’il y ait quelque chose à digérer…»
Cet ouvrage peut aider beaucoup à s'exprimer en une parole inspirée, construite et efficace.