Si l'être humain n'était guidé que par ses besoins, s'il n'était qu'un « homo oeconomicus », le bonheur lui serait plus simple. Or il est habité par un désir d'infini qui le pousse à espérer un changement substantiel.
La science moderne nourrit, à son corps défendant, ses soifs messianiques, ses aspirations à se libérer de la mort. Jan Marejko met en
garde contre cette imposture.