«Si tu savais le don de Dieu...» (Jean 4,10). Une petite phrase profondément ancrée dans la mémoire et le coeur des chrétiens, au risque de se banaliser et de perdre son impact! Elle met pourtant en place la vaste problématique du don, parfois mal reçu, mais toujours gratuit et surabondant.
La nouvelle Bible liturgique en français a été éditée en 2013. Trois points forts à son actif : l'officialité que lui confèrent les évêques francophones, une traduction par des spécialistes à partir des langues d'origine, adaptée de surplus à la proclamation dans l'assemblée liturgique. Cette traduction devrait entrer en vigueur progressivement dans les lectionnaires liturgiques.[1]
Des représentants des Nations Unies et du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont déclaré, au terme d'un colloque organisé à Genève le 28 novembre, que la communauté internationale et les responsables religieux devaient coopérer davantage pour lutter contre le fléau que représente le virus Ebola. «Les organisations religieuses ont un rôle absolument essentiel à jouer dans la lutte contre Ebola parce qu'elles ont un accès privilégié aux populations », a précisé le docteur David Nabarro, envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour la lutte contre Ebola.
Le pape François a reçu le 1er décembre 2014 les membres de la Conférence des évêques suisses en visite ad limina. Dans son discours, le pontife a insisté sur trois points : la collaboration des laïcs avec les prêtres, l'oecuménisme et les relations Eglise-Etat.
Le Christ n’a eu de cesse de nous appeler à une humanité nouvelle, qui ne séparerait plus le charnel du spirituel (Eve et Marie). De nombreux prophètes ont enseigné à travers l’Histoire que « la vulnérabilité est révélatrice à la fois de l’humanité et de l’altérité » (Amanda Garcia). Les traités internationaux de protection des droits humains adoptés au siècle passé, telle la Convention internationale des droits de l’enfant dont nous venons de fêter les 25 ans, révèlent combien cette idée maîtresse a pris racine dans le monde.
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Réunis à Istanbul à l'occasion de la fête de saint André, patron du Patriarcat œcuménique de Constantinople, le pape François et le patriarche Bartholomée 1er ont signé une déclaration commune, le 30 novembre 2014. En voici le texte.
Le Christ n'a eu de cesse de nous appeler à une humanité nouvelle, qui ne séparerait plus le charnel du spirituel (Eve et Marie). De nombreux prophètes ont enseigné à travers l'Histoire que « la vulnérabilité est révélatrice à la fois de l'humanité et de l'altérité » (Amanda Garcia).[1] Les traités internationaux de protection des droits humains adoptés au siècle passé, telle la Convention internationale des droits de l'enfant dont nous venons de fêter les 25 ans, révèlent combien cette idée maîtresse a pris racine dans le monde.
Pas d'excuses à la violence envers les femmes
Pour dire non à toutes les sortes d'excuses qui justifient la violence envers les femmes et les jeunes filles, le COE, d'entente avec l'Alliance mondiale YWCA (Unions chrétiennes féminines) et la Fédération luthérienne mondiale, invite ses Églises membres et ses partenaires à se joindre à la campagne «Pas d'excuses à la violence envers les femmes» («NoXcuses for Violence against Women»).
Depuis le 25 novembre, durant Seize jours d'action contre la violence liée au genre, le COE et ses partenaires présentent chaque jour un message vidéo d'une personnalité dirigeante qui, s'appuyant sur son expérience personnelle et sa conviction chrétienne, viendra affirmer qu'il ne peut y avoir d'excuses à la violence fondée sur le genre.