« Et si c'est cela qui t'intéresse, va au Nord et fais de l'alpinisme : c'est plus sain ! » C'est ainsi que s'exprimait le pape François dans son homélie du 5 mai dernier, pour dénoncer la présence d'arrivistes au sein de l'Eglise. La montagne se réduit-elle à un simple tremplin ascensionnel ?
Photographe romand, Jean-Marie Jolidon a d'abord cherché l'exploit sportif et le sensationnel, avant de troquer ses crampons pour ses objectifs et le bonheur des rencontres.
Une dizaine d'expéditions dans le Groenland ont été organisées pour des jeunes par le Collège de l'Abbaye de St-Maurice. Des aventures qui se préparent sur plusieurs années, et durant laquelle les participants apprennent à se dépasser.
La crise environnementale que nous vivons est la plus grave et la plus complexe de l’histoire de l’humanité. Ses retombées risquent d’être surprenantes et incontrôlables si nous continuons à appliquer nos méthodes habituelles de résolutions des problèmes. Elle demande des réponses concertées de la part des habitants de la planète, des nouveaux modes de pensée et des approches du savoir innovantes. • Cet article est tiré d’une conférence donnée par Jacques Haers à Montréal, le 15
novembre 2009. Vous pouvez retrouver l’intégralité de son allocution sur : www.jesuites.org/jacques_haers.htm. (n.d.l.r.)
La presse a répercuté une image passablement négative de la Conférence des Nations Unies pour le développement durable, tenue au Brésil du 20 au 22 juin passés. Cette perception ne me paraît pas correspondre à la réalité.
Face au désastre climatique qui s'annonce, nous sommes appelés à une véritable mutation qui prenne en compte le besoin de développement économique du Sud et les critères de justice. A la fin de cette année, une nouvelle convention internationale sur le climat sera adoptée à Copenhague. L'enjeu est de taille : la survie des pays du Sud dépendra en partie des décisions qui y seront prises, comme l'affirme la Campagne oecuménique de Carême 2009.
Dans les pays occidentaux, les 40% de la facture pétrolière sont le fait du chauffage ; juste derrière arrivent les transports. En Suisse, les transports dans leur ensemble sont responsables d'environ 35 % de la consommation d'énergie et de 30% des émissions de gaz carbonique. Comment réduire ces taux ? Par le développement du rail et l'utilisation d'autres énergies.