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Rumeurs et questions circulent au sujet du pape François et de l'époque à laquelle il était provincial (supérieur) des jésuites d'Argentine, ainsi que de sa relation à deux jésuites emprisonnés et à la dictature militaire.

En choisissant le nom de François, le nouveau pape a envoyé son premier message au monde. Mais quel est ce message ? Quatre réponses viennent à l'esprit, qui sont peut-être toutes vraies.

L'élection comme pape du cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, est une triple première pour l'Eglise catholique. C'est la première fois qu'un Argentin accède au pontificat et c'est la première fois qu'un jésuite devient pape. S'il avait été considéré comme papabile pour la succession de Jean Paul II en 2005, il ne figurait pas cette fois-ci parmi les favoris principalement en raison de son âge de 76 ans. Première aussi pour son nom puisqu'il a choisi celui de François Ier.

La Conférence des évêques suisses s'est réjouie de l'élection du nouveau pape François. « Ces dernières semaines, suite à la renonciation du pape Benoît XVI, il était devenu manifeste que l'Eglise catholique traverse une période mouvementée. Les évêques suisses accueillent de tout cœur l’annonce de l’élection. Ils invoquent l’Esprit saint afin qu’Il assiste le nouveau pape», a écrit Mgr Markus Büchel, président de la Conférence des évêques suisses (CES).

La question de la propriété foncière a été au centre de la rencontre des communautés traditionnelles qui a eu lieu du 25 au 28 février à Luziânia - dans l'Etat de Goias, au centre du Brésil.

L'île philippine de Boracay est un paradis touristique, une île qui compte certaines des plages les plus belles et les plus recherchées du sud-est asiatique. Mais il s'agit aussi du théâtre d'abus et d'injustices subis par les populations indigènes de l'île, les Ati.

Emission "Faut pas croire" de la TSR, du 16 février 2013

Changement de pape, changement de cap ?

L'annonce de la "renonciation" de Benoît XVI a semé l'émoi dans le monde catholique. Depuis 700 ans, Joseph Ratzinger n'est que le deuxième pape à renoncer volontairement à sa charge. Passé l'effet de surprise, quelle influence cette décision peut-elle avoir sur l'avenir? Après ce court pontificat de transition, les cardinaux sont-ils prêts à élire un pape plus progressiste ou originaire d'un pays du Sud? Cinquante ans après Vatican II, l'Eglise catholique se donnera-t-elle les moyens de changer son image et d'entrer pleinement dans la modernité?

Invités

- Mgr Charles Morerod, évêque du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg.
- Lucienne Bittar, rédactrice en chef de la revue jésuite Choisir.
- André Kolly, journaliste d’information religieuse.

Un débat animé par Aline Bachofner.

mercredi, 13 février 2013 12:27

La mémoire courte des peuples

Écrit par

Comment l'élection du pape Benoît XVI fut-elle accueillie en son temps par la presse romande? Rappel avec Albert Longchamp s.j., directeur de choisir. A lire sur cath.ch

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